Boris Lemaire entre au conseil municipal

Boris Lemaire, en quelques mots, tu peux te présenter pour nos lecteurs ?

J’ai 42 ans, je suis marié, et j’ai 3 enfants. Je suis originaire de la Marne et je suis questembertois depuis 10 ans : ingénieur, je suis arrivé en Bretagne pour prendre un poste de Responsable Développement Packaging à la SOPRAT à la Vraie-Croix ; en 2010, j’ai quitté le Groupe Doux, je suis rentré chez Yves Rocher à La Gacilly où je travaille toujours et suis également représentant du personnel en tant que cadre.

Pourquoi avoir choisi de t’installer à Questembert avec ta famille ?

Le retour en province après 4 ans passé en région parisienne a été le premier moteur de décision. La proximité de l’emploi pour l’un de nous deux, ma femme travaillant dans l’informatique pour les grandes entreprises bancaires pouvait facilement me rejoindre.

Questembert a donc été un choix naturel au regard du dynamisme et de la qualité des services publics, de la crèche au lycée avec une vie culturelle et sportive foisonnante.

Et tu participes à la vie locale ?

Rapidement nous nous sommes inclus dans la vie associative locale, parents d’élèves notamment autour de la restauration scolaire, l’école de musique et les clubs sportifs, plus particulièrement le badminton. Après avoir participé à la création de l’AMAP (Association au Maintien de l’Agriculture Paysanne) à Lauzach-Berric, nous avons tenté de créer ce même concept d’AMAP sur Questembert.

Et donc naturellement, à la vie municipale !

Effectivement, j’ai tout d’abord intégré le groupe de travail agenda 21 sur la proposition de Franck Guillouzouic, où j’ai apporté ma sensibilité aux questions environnementales . En effet, les trois piliers de l’agenda 21 : le social, l’économique et l’environnemental sont au coeur de ce qui me motive en politique. La cohabitation des circulations douces avec la voiture en centre-ville fut l’un de nos chantiers.

En 2014, j’ai accepté d’être candidat sur la liste de P. Paboeuf, Questembert Créative et Solidaire pour apporter mes idées à la belle mosaïque que nous représentions.

Evidemment, j’aurais préféré être actif dans une majorité qui avait des projets bien réfléchis et une méthode très ouverte à la participation citoyenne.