Passerelle du Pont-à-Tan : les travaux avancent

Le platelage vu de l’Est

Sécuriser le passage au Pont-à-Tan

De nombreux promeneurs et sportifs ont coutume de prolonger leur circuit autour de l’Etang par les sentiers aménagés qui suivent le ruisseau et le marais en cours d’assèchement. Le projet de la Coulée verte et les premiers travaux ont donné encore plus d’attrait à ces balades qui attirent de plus en plus de monde. Le passage entre les deux rives sur la route du Grand Célac mettait en concurrence des promeneurs en famille et la circulation automobile. Sur une partie de la traversée, il aurait sans doute été possible de séparer les flux, mais l’urbanisation en cours du côté du Grand Célac et de Kerjumais, la liaison facile avec Chez-Boissel et la route de Vannes viennent accroître la densité de circulation. A cela s’est ajoutée la nécessité de penser un cheminement sécurisé dans l’hypothèse d’un nouveau cimetière. L’idée d’une platelage bois et d’une passerelle s’est imposée assez rapidement.

Un cheminement doux entre la ville et le Grand Célac

Il ne faudra pas s’arrêter à ce passage sur le marais et le ruisseau, car la route est très étroite et sinueuse que ce soit vers la ville ou vers le Sendoué/Chez Boissel. La commune a d’ailleurs acquis les terrains qui permettront de réaliser un cheminement piétons/vélos en direction du Lycée, de l’Asphodèle et de la ville. Des discussions avaient été entamées avec le propriétaire pour faire la même opération du côté Ouest. Il y va de la sécurité de tous les usagers de cette route, qui sont déjà nombreux aujourd’hui et qui le seront encore plus demain.

Le platelage vu de la rive Nord-Ouest